Ma liste de blogs

mardi 13 avril 2010

Peut-on y croire ?


Etranglée par sa burqa, prise dans la roue de son kart

Une jeune femme de confession musulmane est décédée des suites d'un accident de karting survenu jeudi après-midi sur un circuit en Nouvelle-Galles du Sud, en Australie, lorsque sa burqa s'est prise dans la roue de l'engin qu'elle pilotait.

En pleine course, la mère de famille âgée de 26 ans et originaire de Sydney, a malencontreusement coincé son vêtement dans la roue du kart et a été étranglée par le tissu, d'après des témoins.

La victime a été emmenée d'urgence au John Hunter Hospital, mais les médecins n'ont rien pu faire. Une enquête a été ouverte sur les circonstances de l'accident. Le kart a été saisi par la police pour être inspecté plus en détails. 

Franchement, elle avait besoin de mettre  sa  burqa pour faire du kart ???? 

Christian D de retour du Japon nous adresse son courrier hebdomadaire

Je suppose que tous les lettrés qui nous lisent connaissent ce dialogue, mais grâce au net, une piqure de rappel ne fait pas de mal.
  











Extrait d'une conversation entre Colbert et Jules Mazarin sous LOUIS XIV

Colbert : Pour  trouver de l’argent, il arrive un moment où tripoter ne suffit plus.  J’aimerais que Monsieur le Surintendant m’explique comment on s’y prend pour dépenser encore quand on est déjà endetté jusqu’au  cou…



Mazarin : Quand on  est un simple mortel, bien sûr, et qu’on est couvert de dettes, on  va en prison.
Mais l’Etat…  L’Etat, lui, c’est différent. On ne peut pas jeter l’Etat en prison.  Alors, il continue, il creuse la dette !
Tous les États font  ça.

Colbert :   Ah  oui ? Vous croyez ? Cependant, il nous faut de l’argent.  Et comment  en trouver quand on a déjà créé tous les impôts  imaginables ?

Mazarin : On en crée d’autres.  

Colbert : Nous ne pouvons pas  taxer les pauvres plus qu’ils ne le sont déjà.

Mazarin : Oui,  c’est impossible.

Colbert : Alors, les  riches ?

Mazarin : Les  riches, non plus. Ils ne dépenseraient plus.  Un riche qui  dépense fait vivre des centaines de  pauvres.

Colbert : Alors, comment fait-on ? 

Mazarin :  Colbert,  tu raisonnes comme un fromage (comme un pot de chambre sous le  derrière d'un malade) ! il y a quantité de gens  qui  sont entre les deux, ni pauvres, ni riches… Des Français qui  travaillent, rêvant d’être riches et redoutant d’être pauvres !  C’est ceux-là que nous devons taxer, encore plus, toujours  plus ! Ceux là !
Plus tu leur  prends, plus ils travaillent pour compenser… C’est un réservoir  inépuisable. 

Extrait du " Diable  Rouge "

Trop drôle !

A chacun son métier

Il y a 7 ans déjà ! avril 2003