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vendredi 12 décembre 2014

Rentrée des classes, septembre1952, Le Mans 162 rue Henri Barbusse, les cousins Chalumeau

Michel, Daniel, Jean-Claude, Jack, Gérard, Jasianne, Alain

Mariage Marcel Chalumeau ( le frère benjamin de mon père) et Christiane, à Orléan

En haut à gauche Odette et Ernest-René, à leur gauche Suzanne et Robert

1929 ou 1930



 C’est mon oncle Marcel  qui prend la photo.
En bas, mes grand-parents Chalumeau (Berthe et Ernest). A gauche, assis,mon oncle Robert. Avec la main au-dessus des yeux, Ernest, mon père 'né en 1913). Avec la casquette, il s’agit de René Dolbeau. En haut, à gauche, Louisette, Renée, Tante Isabelle (soeur de Berthe Chalumeau, ma grand-mère). Puis la toute petite fille, c’est Georgette (ma marraine qui aura 90 ans le 1er janvier prochain) et à sa droite, avec les jambes écartées c’est Jeannette mariée avec un soldat américain après la guerre et qui vit à Chicago

Mariage de Berthe ( née Dolbeau) et Ernest Chalumeau, 1910 ?


mardi 9 décembre 2014

De la Coupole au quartier Saint-Sulpice

Cela faisait bien longtemps que nous n'y avions pas déjeuné

La Coupole

Façcade en céramique

Une des dernières de Paris

Eglise Saint Sulpice




J'ai retrouvé ma place Furstenberg




Rue Férou


vendredi 5 décembre 2014

Je n'ai jamais su si ces phrases (connues ou moins connues) que l'on prête aux "Hommes et Femmes célèbres étaient vraies ou inventées.


Cette phrase de Robert Surcouf, célèbre corsaire Malouin, répondant à un amiral britannique qui prétendait ceci :
"Vous les Français vous vous battez pour l'argent, nous Anglais, nous nous battons pour l'honneur !!!"
Et Robert Surcouf de répondre : "Monsieur, chacun se bat pour ce qu'il n'a pas!!!"


Lors d'un échange entre les deux rivaux politiques du 18ème siècle, John Montagu, Comte de Sandwich, et le réformiste John Wilkes. Montagu dit à Wilkes :
« Monsieur, je ne sais pas si vous mourrez sur l'échafaud ou de la syphilis. » Réplique de Wilkes :
« Cela dépend, monsieur si j'embrasse vos principes ou votre maitresse. »


Lady Astor apostropha un jour Winston Churchill :
« Monsieur Churchill, vous êtes ivre ! »
Réplique de Churchill :
« Et vous, Madame, vous êtes laide... Mais moi, demain, je serai sobre ! »


Cindy Crawford à Amanda Lear lors d'un cocktail :
« Merci de m'avoir envoyé votre livre, je l'ai adoré. Mais dites-moi, qui vous l'a écrit ? »
Réplique d'Amanda :
« Je suis ravie que vous ayez apprécié mon livre. Mais dites-moi, qui vous l'a lu ? »



Le Prince de Conti était fort laid. Aussi sa femme le trompait sans vergogne. Un jour, en partant, il lui dit :
« Madame, je vous recommande de ne pas me tromper pendant mon absence. »
Réplique de sa femme :
« Monsieur, vous pouvez partir tranquille : je n 'ai envie de vous tromper que lorsque je vous vois. »



Churchill fit un jour la remarque suivante à Bernard Shaw (alors très maigre contrairement à ce premier de forte corpulence) :
« À vous voir, tout le monde pourrait penser que la famine règne en Angleterre. »
Réplique de Shaw :
« À vous voir, tout le monde pourrait penser que c'est vous qui en êtes la cause. »



Lors d'une visite du palais de Blenheim (maison ancestrale de la famille Churchill ), Lady Astor, l'icône féministe, se retrouva à discuter des droits des femmes avec Winston Churchill, qui n'était pas réputé pour son affection pour le sujet.
Au sommet de leur désaccord, Lady Astor s'écria :
« Winston, Si j' étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre verre ! »
Réplique du tac au tac de Churchill :
Eh bien moi, Nancy, si j' étais votre mari, je le boirais ! »



Sacha Guitry et Yvonne Printemps, son épouse du moment, se promènent dans un cimetière
« Lorsque vous serez là, on pourra écrire sur la pierre : Enfin froide, » déclare galamment le spirituel Sacha.
« Et quand vous y serez, sur la vôtre on pourra écrire : Enfin raide. «



Au Conservatoire national d'art dramatique, Louis Jouvet, professeur, à
François Périer, jeune élève :
Si Molière voit comment tu interprètes ton Don Juan, il doit se retourner dans sa tombe.
Et Périer de répliquer du même ton :
Comme vous l'avez joué avant moi, ça le remettra en place.



Anna Tyskiewicz, future comtesse Potocka, cachait avec soin un strabisme divergent.
Mais Talleyrand, le plus célèbre pied-bot de l'Histoire, connaissait cette infirmité. Un jour, elle s'avisa de lui demander :
Comment allez-vous, Prince ?Comme vous voyez, madame, répondit Talleyrand.




Le maréchal va beaucoup vous manquer.» dit-on à l' épouse du Maréchal de Boufflers après qu'il fut décédé.
« Peut-être. Mais au moins, je saurai où il passe ses nuits »
réplique-t-elle.




Monsieur de Rivarol, combien d' années me donnez-vous ? » demandait une vieille coquette à l 'homme célèbre..
Réponse :
"Pourquoi vous en donnerais-je Madame ? N 'en avez-vous donc pas assez ?



A la fin d'un dîner organisé par Winston Churchill, le maître d' hôtel du
héros de la guerre présente la cave à cigares aux invités. L 'un d'entre
eux, sans le moindre scrupule, en prend cinq, les met dans sa poche et déclare :
"C' est pour la route. »
Réponse de Churchill
« Merci d' être venu d 'aussi loin !