Ma liste de blogs
vendredi 26 décembre 2014
lundi 22 décembre 2014
mercredi 17 décembre 2014
1958, Communion de Gérard Chalumeau (qui prend la photo avec son cadeau de communion l'appareil Brownie flash Kodak, ) de gauche à droite : Grand-père Doisneau, Grand-mère Chalumeau, Alain Lelay, Serge Lebourg, Josiane Lelay, Daniel Chalumeau, Michel Chalumeau, Odette Chalumeau, Françoise Lebourg, Robert Lebourg,Christianne et Marcel Chalumeau, tante Marie
lundi 15 décembre 2014
vendredi 12 décembre 2014
1929 ou 1930
C’est mon oncle Marcel qui prend la photo.
En bas, mes grand-parents Chalumeau (Berthe et Ernest). A gauche, assis,mon oncle Robert. Avec la main au-dessus des yeux, Ernest, mon père 'né en 1913). Avec la casquette, il s’agit de René Dolbeau. En haut, à gauche, Louisette, Renée, Tante Isabelle (soeur de Berthe Chalumeau, ma grand-mère). Puis la toute petite fille, c’est Georgette (ma marraine qui aura 90 ans le 1er janvier prochain) et à sa droite, avec les jambes écartées c’est Jeannette mariée avec un soldat américain après la guerre et qui vit à Chicago
mardi 9 décembre 2014
De la Coupole au quartier Saint-Sulpice
vendredi 5 décembre 2014
Je n'ai jamais su si ces phrases (connues ou moins connues) que l'on prête aux "Hommes et Femmes célèbres étaient vraies ou inventées.
Cette phrase de Robert Surcouf, célèbre corsaire Malouin, répondant à un amiral britannique qui prétendait ceci :
"Vous les Français vous vous battez pour l'argent, nous Anglais, nous nous battons pour l'honneur !!!"
Et Robert Surcouf de répondre : "Monsieur, chacun se bat pour ce qu'il n'a pas!!!"
Lors d'un échange entre les deux rivaux politiques du 18ème siècle, John Montagu, Comte de Sandwich, et le réformiste John Wilkes. Montagu dit à Wilkes :
« Monsieur, je ne sais pas si vous mourrez sur l'échafaud ou de la syphilis. » Réplique de Wilkes :
« Cela dépend, monsieur si j'embrasse vos principes ou votre maitresse. »
Lady Astor apostropha un jour Winston Churchill :
« Monsieur Churchill, vous êtes ivre ! »
Réplique de Churchill :
« Et vous, Madame, vous êtes laide... Mais moi, demain, je serai sobre ! »
Cindy Crawford à Amanda Lear lors d'un cocktail :
« Merci de m'avoir envoyé votre livre, je l'ai adoré. Mais dites-moi, qui vous l'a écrit ? »
Réplique d'Amanda :
« Je suis ravie que vous ayez apprécié mon livre. Mais dites-moi, qui vous l'a lu ? »
Le Prince de Conti était fort laid. Aussi sa femme le trompait sans vergogne. Un jour, en partant, il lui dit :
« Madame, je vous recommande de ne pas me tromper pendant mon absence. »
Réplique de sa femme :
« Monsieur, vous pouvez partir tranquille : je n 'ai envie de vous tromper que lorsque je vous vois. »
Churchill fit un jour la remarque suivante à Bernard Shaw (alors très maigre contrairement à ce premier de forte corpulence) :
« À vous voir, tout le monde pourrait penser que la famine règne en Angleterre. »
Réplique de Shaw :
« À vous voir, tout le monde pourrait penser que c'est vous qui en êtes la cause. »
Lors d'une visite du palais de Blenheim (maison ancestrale de la famille Churchill ), Lady Astor, l'icône féministe, se retrouva à discuter des droits des femmes avec Winston Churchill, qui n'était pas réputé pour son affection pour le sujet.
Au sommet de leur désaccord, Lady Astor s'écria :
« Winston, Si j' étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre verre ! »
Réplique du tac au tac de Churchill :
Eh bien moi, Nancy, si j' étais votre mari, je le boirais ! »
Sacha Guitry et Yvonne Printemps, son épouse du moment, se promènent dans un cimetière
« Lorsque vous serez là, on pourra écrire sur la pierre : Enfin froide, » déclare galamment le spirituel Sacha.
« Et quand vous y serez, sur la vôtre on pourra écrire : Enfin raide. «
Au Conservatoire national d'art dramatique, Louis Jouvet, professeur, à
François Périer, jeune élève :
Si Molière voit comment tu interprètes ton Don Juan, il doit se retourner dans sa tombe.
Et Périer de répliquer du même ton :
Comme vous l'avez joué avant moi, ça le remettra en place.
Anna Tyskiewicz, future comtesse Potocka, cachait avec soin un strabisme divergent.
Mais Talleyrand, le plus célèbre pied-bot de l'Histoire, connaissait cette infirmité. Un jour, elle s'avisa de lui demander :
Comment allez-vous, Prince ?Comme vous voyez, madame, répondit Talleyrand.
Le maréchal va beaucoup vous manquer.» dit-on à l' épouse du Maréchal de Boufflers après qu'il fut décédé.
« Peut-être. Mais au moins, je saurai où il passe ses nuits »
réplique-t-elle.
Monsieur de Rivarol, combien d' années me donnez-vous ? » demandait une vieille coquette à l 'homme célèbre..
Réponse :
"Pourquoi vous en donnerais-je Madame ? N 'en avez-vous donc pas assez ?
A la fin d'un dîner organisé par Winston Churchill, le maître d' hôtel du
héros de la guerre présente la cave à cigares aux invités. L 'un d'entre
eux, sans le moindre scrupule, en prend cinq, les met dans sa poche et déclare :
"C' est pour la route. »
Réponse de Churchill
« Merci d' être venu d 'aussi loin !
jeudi 4 décembre 2014
lundi 1 décembre 2014
lundi 24 novembre 2014
Odette Yvonne Victorine Aimée Chalumeau, née Doisneau le 25 janvier 1913 au Mans, décédée dans sa 102ième année le 19 novembre 2014 à Nantes, à 13H15
Résidence Anne de Bretagne le mardi 18 novembre 2014, à 13H18 |
« Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières,
Vains objets dont pour moi le charme est envolé ?
Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères,
Un seul être vous
manque, et tout est dépeuplé ! »
25 janvier 1913, 2 juillet 1938, 4 mars 1940, 4
avril 1946, 2 juillet 1950,
19 novembre 2014, ces six dates auront marqué à
jamais un siècle de vie. Veuve durant 64 ans et maintenant l’éternité que notre
mère n’appréhendait pas d’affronter. « Elle » croyait en Dieu, et cette
force l’a souvent aidé à affronter les vicissitudes de sa longue vie. Elle nous
a quitté en ce mois de la Toussaint, croyante, sans bruit, sans souffrance,
sans se plaindre. Elle ne voulait pas déranger, s’imposer.
Le 20 avril 1996, à 83 ans, le jour de la sainte
Odette Elle choisit, en toute connaissance, d’intégrer la résidence Anne de Bretagne sa dernière demeure terrestre.
Cela fait 18 ans. Sa cousine Raymonde, aujourd’hui dans sa 104ème
année est toujours résidente de cette maison. Elles ont pu y échanger leurs
souvenirs de jeunesse et passer de bons moments ensemble que j’ai pu retrouver
dans le journal qu’elle a tenu du 22 juin 1982 à Mai 2002 à la veille de ses 90
ans. Tu sais, j’ai pris un coup de vieux, me dit-elle cette année là.
En 1982, quelques années après sa cessation
d’activité professionnelle elle a décidé de quitter sa ville natale du Mans
pour rejoindre à Nantes Jeanne sa sœur et Robert son époux, grand copain de son
mari, devenu son beau-frère. L’année de ses 90 ans, qu’elle se faisait un
plaisir de fêter au milieu de sa famille réunie, Jeannette sa sœur de 4 ans sa
cadette quitta ce monde, bien trop tôt. La fête fut un peu gâchée. Les deux
sœurs on vécu une jeunesse et une vie de jeunes filles très fusionnelle au Mans
dans la maison de nos grands-parents Doisneau, au 23 de la rue Loiseau ou
cousins et cousines nous avons de nombreux souvenirs. Le 162 rue Henri Barbusse
au Mans, maison familiale Chalumeau a également été au fil de ce siècle le lieu
de joies mais aussi de peines.
Le 2 juillet 1950 au décès de son mari Ernest-René,
l’ ainé d’une famille de cheminots de quatre enfants et cheminot lui-même, « Elle »
dut abandonner sa vie de femme au foyer et trouver rapidement un emploi. Elle
avait quitté l’école après la classe de 5ème. « Elle »
intégra le fameux cours Pigier et devint une sténodactylo hors pair et la comptabilité
n’avait plus de secret pour elle. Elle hérita de la fibre du commerce de son
père Victor marchand de bestiaux. De la confection Chapin à la bijouterie
Dutray elle s’installa rapidement et définitivement en 1955 et jusqu’à sa
retraite en 1979, dans la vente des vélosolex et des motos de la bien connue
concession Alline au Mans.
Mes enfants, Laure, Matthieu Sophie, mes neveux et
nièce, Guillaume Frédérique, ,votre grand-mère paternelle vous a fait passé de
bons moments lors de vacances estivales au bord de la mer non loin d’ici, durant
votre adolescence. Vous m’avez dit en garder de bons souvenirs, puissiez en retour
conserver le souvenir d’une grand-mère aimante et dévouée., qui savait vous
confectionner de bons petits plats. Elle était bonne cuisinière. Sachons
perpétuer cette qualité.
Pauline, Margaux, Cassandre, Cyann, Maël, Killian,
Thimoté, Camille, Tancrède, Oscar, Aimée, Félicie, votre arrière-grand-mère n’a
pas pu voir ses douze arrières petits
enfants autant qu’elle l’aurait souhaité. Elle me l’a dit et en ressentait de
la peine. La vie est ainsi faite. Parfois les chemins éloignés ne se
rencontrent jamais. A l’image de vos grands-parents, vos parents sauront, j’en
suis certain, vous rappeler au fil du temps qui passe, les souvenirs de sa vie.
Gardons en nous le sentiment de mémoire.
Cousins, cousines, Lebourg, Chalumeau vous
l’appeliez « ma tante ». Avec vous et avec vous tous partageons ses derniers souhaits manuscrits :
« Maintenant je demande à tous de bien me
comprendre et surtout de bien vous entendre et je vous embrasse très
fort ».
Ne soyons pas tristes, sa route fût longue, et parsemée
de moments heureux. Pardonnons, si besoin était, ses faiblesses, ses écarts de
langage spontanés parfois incompris voire peut-être même injustes. Elle avait
comme on dit « du caractère ». Sa vie a été honnête et
courageuse. Elle aimait sa famille. Elle vous aimait. Elle nous aimait.
Alors rendons lui aujourd’hui un dernier hommage en
respectant ses dernières volontés. Partageons cette cérémonie religieuse
qu’elle désirait pour rejoindre le monde en lequel elle croyait.
A Nantes le 22 novembre 2014, église Saint Similien,
mercredi 19 novembre 2014
dimanche 16 novembre 2014
samedi 15 novembre 2014
mercredi 5 novembre 2014
lundi 3 novembre 2014
samedi 1 novembre 2014
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